Plus communément connue sous la dénomination loi de l’emmerdement maximum, elle désigne ce à quoi personne n’échappe au quotidien tout au long de sa vie.
Elle est étudiée très sérieusement par des chercheurs à travers le monde qui s’interrogent sur tout ce que se passe dans des circonstances clairement définies :
Pourquoi la tartine tombe t- elle toujours du côté du beurre ?
Pourquoi ça ne marche (presque) jamais en amour ?
Entre étude du cerveau humain, des comportements, de la perception de l’espace, du temps et de l’autre, il y a dans ces deux livres de Richard Robinson plus d’un point commun avec mon ami Boris ; j’y ai retrouvé également du petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens. Ils sont très complémentaires de ces lectures plus « universitaires » et sérieuses (françaises) parce que c’est très drôle. C’est peut être un côté très américain, cette manière d’amener des idées pointues en enfonçant des portes ouvertes et en vulgarisant au maximum. Sans importance puisque le but est de s’enrichir, d’expérimenter par le livre. Les dessins, les citations, les chapitres, tout est si drôle, … et tellement déculpabilisant !
Tous victime de la loi de Murphy parce que nous le voulons bien et parce que c’est inhérent à notre nature humaine.